Jeudi dernier se tenait une nouvelle réunion de négociations avec la Direction, la première officielle depuis le débrayage du 30 janvier.
Cette réunion de négociation a été essentiellement consacrée à l'étude des revendications présentées par les Organisations Syndicales et des réponses apportées par la Direction.
Les discussions ont été intenses mais l'étendue et la complexité des sujets abordés n'ont pas permis d'acter des décisions sur certains d'entre eux.
Pour nous, il est donc encore trop tôt pour donner une tendance sur l'issue de ces négociations, et, pour vous aider à mieux comprendre ce qui est an cours, nous vous proposons un point sur la situation et son contexte.
Tout d'abord, pour vous préciser que la délégation Cfdt était présente à la table des négociations, car si nous pouvons envisager de manifester lorsque les conditions le nécessitent, nous n'imaginons pas de nous abstenir de négocier par la suite, sous prétexte que l'ensemble de nos revendications ne seraient pas immédiatement satisfaites.
Ensuite, sur le fond des discussions, de nouvelles propositions de la direction sont arrivées sur la table des négociations et, si elles ne répondent pas à toutes nos attentes, au moins se sont-elles améliorées depuis la réunion précédente.
Nous devons maintenant étudier dans le détail l'ensemble de ces propositions et y apporter nos propres revendications avant de définir notre position.
Nos adhérents et candidats aux élections sont bien sur plus amplement informés des détails de la négociation, et la décision de s'engager dans la voie d'un accord ou au contraire d'un désaccord sera prise collectivement, en vertu des principes démocratiques qui sont les nôtres.
Les négociations se poursuivront jusqu'à la fin du mois, la prochaine réunion avec la Direction aura lieu le 24 février, veille de la première réunion du nouveau Comité d'Entreprise.
A ce sujet, nous reviendrons d'ailleurs très rapidement sur les résultats du second tour officialisés par la Direction (sur l'intranet).
il ne s'agit pas de s'abstenir de négocier sous prétexte que l'ensemble des revendications ne sont pas satisfaites.
RépondreSupprimeril s'agit de s'abstenir de négocier lorsqu'un minimum acceptable n'est même pas atteint!
pour prendre un exemple trivial, seriez-vous prêt à négocier une augmentation générale autour de 10 euros? pas moi.
ceci dit, que chacun fasse comme il le sent.
guillaume
Le constat à faire camarades des syndicats , c'est que la direction est en train de réussir avec la plus basique des stratégies : diviser pour mieux reigner !
RépondreSupprimerpour moi nous ne sommes pas divisés, nous avons des approches complémentaires.
RépondreSupprimeril est sain de se dire les choses qd il y a des désaccords.
je n'ai pas l'impression que la direction actuelle est en train de réussir grand-chose...
guillaume