Anouar a été embauché à l'agence Modis de Nantes au mois de juin 2019.
Etant d'origine étrangère, il bénéficie à l'issue de ses études d'une autorisation provisoire de séjour valable 1 an, jusqu'en novembre 2019.
Son embauche en CDI lui permet normalement de changer de statut en demandant à la préfecture un titre de séjour.
Anouartransmet donc au service RH l'ensemble des éléments requis dès la mi-juin, et attend en retour les éléments lui permettant de déposer son dossier en préfecture.
Cependant, rien ne vient si ce n'est qu'à une semaine de la fin de sa période d'essais, il reçoit un courrier lui signifiant que l'entreprise met fin à son contrat dès la semaine suivante.
Une fin brutale qui non seulement priverait Modis d'un salarié compétent et apprécié de ses collègues, mais surtout a de lourdes conséquences pour ce travailleur étranger. En effet, en l'absence de Visa de travail obtenu en bonne et due forme, il n'aura pas d'autres options que de quitter le territoire.
Nous refusons cette double injustice, et demandons à la Direction de tout faire pour permette à Anouar de régulariser sa situation, comme promis lors de son embauche.
Salariés Nantais, témoignez de votre soutien à Anouar.
Rapprochez-vous de vos représentants du personnel Nantais.
Pas très élégant,ni respectueux des personnes comme façon de procéder!
RépondreSupprimerEt le Greatplacetowork c'est du flan, ou c'est juste histoire de mettre un babyfoot?
Vous parlez d'injustice mais mettre fin à la période d'essai est légal. Elle dispose de deux mois pour trouver un nouveau employeur (meilleur que modis) et si elle est " compétent et apprécié de ses collègues" n'aura pas de difficultés.
RépondreSupprimersi la personne était très compétente et appréciée de ses collègues, pourquoi Modis a t il mis fin à la période d'essai ? qui dit vrai ?
SupprimerLe problème ce n'est pas la mise à terme de la période d'essai. C'est le fait que MODIS soit resté muet pour l'aider dans ses démarches administratives. MODIS montre encore une fois que tout n'est en façade et que dans le dos les couteaux pleuvent. Ce qui est paradoxale et drôle lorsque l'on entend de la part de Mr.Graciani que le souhait est d'apporter de la diversité. La vague de demission a Nantes nest peut etre pas due au hasard mais sans doute plus au ras le bol des collaborateurs d'être pris pour des pions.
RépondreSupprimerOn vois bien ici la double vitesse de MODIS très long quand il s'agit de s'occuper de ses employer mais très réactif quand il s'agit de défendre ses propres intérêts.
RépondreSupprimerCe sont des méthodes qui reflètent tout simplement comment les employés vivent et sont traités chez Modis. Il est effectivement pas illégale de mettre fin à une période d'essai, mais dans ce cas on voit très bien que les mesures que Modis essaie de mettre en place ne sont que des "VITRINES". Lors des derniers "CALL TOUS CONNECTES" ainsi que du GREAT PLACE TO WORK, notre cher président nous a dit vouloir être une entreprise où il fait bon vivre, ou chacun qu'importe ses orientations sexuelles, religieux ou autres aurai sa place, apparemment ces discours sont encore soit une "vitrine" ou alors ils ne sont valable que pour les français !! Bravo Modis.
RépondreSupprimerSi on creuse un peu plus, il y a quelques jours nous avons reçu le troisième épisode de MODIS 2020, vous retrouverez la vidéo suivant ce lien:
https://www.youtube.com/watch?v=Qr0AdjY-Q1k&feature=youtu.be
Mr Mathieu Motillon notre directeur parcours professionnels nous dit à 2 minutes 58:
"Oui j'ai vécu chez Modis quelque chose de différent et j'ai senti chez vous une entreprise où je vais pouvoir me développer, où il fera bon vivre"
Je ne pense pas qu'Anouar puisse dire ça, et je ne pense pas qu'on le puisse aussi.
Honte à vous et à sa seigneurie MODIS qui préfère parader et montrer une vitrine que de réellement s'occuper de ses employés.
C'est légalement juste... mais humainement honteux!
RépondreSupprimerAnouar aura toute sa place ailleurs dans une entreprise qui saura l'integrer à hauteur de sa veritable valeur.
Décevant..
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